Leçon 3 – Caïn et Abel-LEÇON DE L'ÉCOLE DU SABBAT 2022(DIMANCHE)



Leçon 3 – Caïn et Abel-LEÇON DE L’ÉCOLE DU SABBAT 2022(DIMANCHE)

LEÇON SAMEDI

AL chante avem

ETUDE SUR LA CRÉATION

DANIEL ETUDES BIBLIQUES

SA SE JEUX BIBLIQUES LA AL JWE

SIW TA RENMEN APRANN PLUS SOU LABIB
OU K SWIV NOU SOU KANAL SA???

OU KAPAB MANB KANAL LA TOU ???

SIW TA RENMEN EDE KANAL LA
PIX 800-045-929-99
Caïn et Abel Lisez Genèse 4:1, 2.

Que nous apprennent ces passages sur les naissances des deux mâles?
Le premier évènement cité par l’auteur biblique immédiatement après l’expulsion d’Adam du jardin d’Éden est une naissance. Dans l’expression hébraïque de Genèse 4:1, le mot « Éternel » (YHWH) est directement lié aux mots « homme », comme l’indique la traduction littérale suivante: « J’ai acquis un homme, en effet, l’Éternel Lui-même. » Ceci est rendu par la SIV anglaise comme suit: « J’ai donné naissance à un enfant mâle – l’Éternel. »
Cette traduction littérale suggère qu’Ève se souvient de la prophétie messianique de Genèse 3:15 et croit qu’elle a donné naissance à son Sauveur, le Seigneur. « La venue du Sauveur avait été annoncée en Éden. Quand Adam et Ève eurent entendu la promesse, ils s’attendirent à un prompt accomplissement. Leur premier-né fut reçu avec joie, dans l’espoir qu’il serait le Libérateur. » Ellen G. White, JésusChrist, p. 31.
En fait, Caïn occupe la majeure partie de l’histoire. Il n’est pas seulement le premier-né, un fils que les parents ont presque « adoré »; dans le chapitre, il est le seul frère qui parle, selon le texte de la Genèse. Alors qu’Ève commente avec enthousiasme la naissance de Caïn, elle ne dit rien au niveau d’Abel, du moins rien qui soit cité dans le texte, contrairement à la naissance de Caïn. Le narrateur rapporte simplement qu’elle « enfanta encore » (Genèse 4:2, LSG).
Le nom Caïn lui-même est dérivé du verbe hébreu qanah, qui signifie « acquérir » et désigne l’acquisition, la possession de quelque chose de précieux et de puissant. D’autre part, le nom hébreu Hebel, en français Abel, signifie « souffle » (Ps. 62:9), ou « vent » (Ps. 144:4) et dénote l’insaisissabilité, le vide, le manque de substance; le même mot, hebel (Abel), est utilisé encore et encore dans l’Ecclésiaste pour signifier la « vanité ». Bien que nous ne voulions pas dire plus de choses sur ces courts textes qu’il n’y en a, peut-être, l’idée est que l’espoir d’Adam et Ève reposait seulement en Caïn, parce qu’ils croyaient que lui, non pas son frère, était le Messie promis.
Quelles sont les choses de la vie qui sont vraiment des hebel, mais que nous traitons comme si elles comptaient beaucoup plus qu’elles ne le sont? Pourquoi est-il important de connaitre la différence entre ce qui compte et ce qui ne compte pas?