Leçon 8 – La nécessité d’une nouvelle alliance – LEÇON DE L'ÉCOLE DU SABBAT 2022(DIMANCHE)



Leçon 8 – La nécessité d’une nouvelle alliance – LEÇON DE L’ÉCOLE DU SABBAT 2022(DIMANCHE)

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La nécessité d’une nouvelle alliance

Lisez Hébreux 7:11-19. Pourquoi fallait-il une nouvelle alliance?
Selon la lettre aux Hébreux, le fait que Jésus soit établi sacrificateur selon l’ordre de Melchisédek impliquait la présence d’une nouvelle alliance. L’ancienne alliance avait été donnée sur la base du sacerdoce lévitique (Heb. 7:11, LSG). Les sacrificateurs lévites jouaient le rôle de médiateurs entre Dieu et Israël, et la loi excluait toute autre personne du sacerdoce. L’auteur conclut donc qu’un changement de sacerdoce implique un changement de la loi du sacerdoce, ainsi qu’un changement d’alliance (Heb. 7:12, 18, 19).
Le problème de l’ancienne alliance était qu’elle ne pouvait pas donner la perfection (Heb. 7:11). Paul parle du sacerdoce lévitique et de son ministère (sacrifices, fêtes, etc.). Les sacrifices d’animaux offerts à travers eux ne procuraient pas une véritable purification du péché, ni l’accès à Dieu (Heb. 10:1-4; Heb. 9:13, 14; Heb. 10:19-23).
Le fait qu’une nouvelle alliance soit nécessaire ne signifie pas que Dieu était injuste envers Israël en leur donnant l’ancienne alliance. Le ministère lévitique et les services du tabernacle étaient conçus pour les protéger contre l’idolâtrie et aussi pour diriger leur regard vers le ministère futur de Jésus. Hébreux souligne que les sacrifices étaient « l’ombre des biens à venir » (Heb. 10:1, LSG).
En dirigeant le regard du peuple vers Jésus, les sacrifices l’aidaient à mettre son espérance et sa foi en « l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Jean 1:29, LSG; Ésaïe 53). C’est la même chose que soulignait Paul quand il dit que la loi était « un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi. » (Gal. 3:24, LSG) ou que « Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient » (Rom. 10:4, LSG).
En d’autres termes, même les dix commandements, aussi bons et parfaits soient-ils, ne peuvent pas donner le salut (Rom 3,20-28, Rom 7, 12-14). Ils donnent une norme parfaite de justice, mais ils ne donnent pas la justice, tout comme le fait de regarder dans un miroir ne peut effacer les rides de l’âge. Pour une justice parfaite, nous avons besoin de Jésus comme substitut.
Pourquoi la loi ne peut-elle pas nous sauver? Après tout, si nous gardons tous les commandements, et les observons bien, même parfaitement, pourquoi ne devraient-ils pas nous sauver?