Leçon 7 : Sabbat après-midi 11 Février 2023, À l'un de ces plus petits
Cliquez sur le lien ci-dessous pour écouter la leçon des Adultes
Leçon 7 : Sabbat après-midi 11 Février 2023, À l’un de ces plus petits
A l’un de ces plus petits
Sabbat après-midi 11 février 2023
On devrait étudier avec soin et prière les méthodes à employer pour venir en aide aux nécessiteux. C’est auprès de Dieu qu’il nous faut chercher la sagesse dont nous avons besoin car il sait mieux que nous, pauvres humains à courte vue, comment prendre soin de ses créatures…
Nous devons venir en aide à ceux qui, chargés de famille, luttent sans cesse contre la faiblesse et la pauvreté. Plus d’une pauvre veuve travaille bien au-delà de ses forces afin de garder ses enfants auprès d’elle et de leur procurer la nourriture et le vêtement. Beaucoup sont mortes de surmenage. Toute veuve a besoin du réconfort qu’apportent des paroles d’encouragement et d’espérance, et nombreuses sont celles qui devraient recevoir une aide substantielle.
Des hommes et des femmes de Dieu, des personnes possédant du discernement et de la sagesse devraient être désignés pour s’occuper des pauvres et des nécessiteux, en commençant par ceux de la maison de Dieu. Ces personnes devraient faire à l’église un rapport de leurs investigations et donner leurs conseils et leurs suggestions au sujet de ce qui devrait être fait.
Testimonies for the Church, vol. 6, p. 277, 278 ;
Témoignages pour l’Église, vol. 2, p. 601, 602.
La Majesté du ciel identifie Ses intérêts avec ceux de l’humanité souffrante. Nos associés et nos compagnons ont besoin d’une gentillesse qui vient du cœur et une tendre sympathie. Il est impossible de croître en Christ, notre chef vivant, à moins que nous ne pratiquions la leçon qu’Il nous a donnée : la sympathie, la compassion et l’amour (voir Matthieu 5.38-48).
Il est impossible de réfléchir l’image de Christ à moins que cet amour qui trouve sa naissance dans le ciel ne soit dans l’âme (voir Galates 5.22,23). Personne ne passera les portails de la cité de Dieu qui ne reflète cet attribut (voir Apocalypse 21.1-27).
Sons and Daughters of God, p. 148.
L’idéal de la règle d’or est, en réalité, celui du christianisme lui-même (voir Matthieu 7.1-12). Tout ce qui ne l’atteint pas n’est que vanité et mensonge. Une religion qui nous permettrait de mépriser nos semblables quand Jésus les a estimés assez précieux pour leur donner sa vie, ou de rester indifférents devant leurs besoins, leurs souffrances ou leurs droits matériels, serait une religion inconséquente.
En dédaignant les appels de ceux qui se débattent dans la misère, la douleur ou le péché, nous trahissons le Sauveur. C’est parce que les hommes portent le nom du Christ tout en reniant son caractère par leur conduite, que le christianisme a si peu de puissance dans le monde et que ce nom est blasphémé (voir 2 Timothée 3.1-5).
Il est écrit de l’Église apostolique, aux jours radieux où la gloire du Sauveur ressuscité resplendissait sur elle : « Nul ne disait que ses biens lui appartinssent en propre. » « Il n’y avait parmi eux aucun indigent. » « Les apôtres rendaient avec beaucoup de force témoignage de la résurrection du Seigneur Jésus. Et une grande grâce reposait sur eux tous. » « Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons, et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur, louant Dieu, et trouvant grâce auprès de tout le peuple. Et le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Église ceux qui étaient sauvés. » (Actes 4.32-34 ; 2.46,47).
Parcourez le ciel et la terre, vous n’y trouverez aucune vérité qui soit révélée avec plus de puissance que ce ministère de charité en faveur de ceux qui ont besoin de notre sympathie et de notre aide. Jésus, d’ailleurs, en était la personnification. Lorsque ceux qui professent le nom du Christ mettront en pratique les principes de cette règle d’or, la puissance même des temps apostoliques accompagnera la prédication de l’Évangile.
Thoughts From the Mount of Blessing, p. 136, 137 ;
Heureux ceux qui, p. 111.