Leçon 4 : Sabbat après-midi 15 Octobre 2022, L'espérance dans l'ancien testament



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Leçon 4 : Sabbat après-midi 15 Octobre 2022, L’espérance dans l’ancien testament

L’espérance dans l’Ancien Testament

Sabbat après-midi 15 octobre 2022
Bientôt les portes des cieux seront grandes ouvertes devant les enfants de Dieu, que le Roi de gloire accueillera par ces paroles qui charmeront leurs oreilles telle la musique la plus suave : « Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; prenez possession du royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde » (Matthieu 25.34).
Alors les rachetés seront accueillis dans les demeures que Jésus est allé leur préparer (voir Jean 14.1-3). Ils n’auront pas pour compagnons des êtres pervers, menteurs, idolâtres, impurs, incrédules ; mais ils s’uniront à ceux qui ont vaincu Satan et qui, par la grâce de Dieu, ont formé des caractères parfaits (voir Apocalypse 21.7,8). Toute tendance au péché, toute imperfection qui les afflige ici-bas, aura été supprimée par le sang de Jésus-Christ, et ils auront pour partage la magnificence de sa gloire, surpassant de beaucoup celle du soleil (voir Juges 5.31 ; Job 11.17 ; Daniel 12.3 ; Matthieu 17.2 ; Actes 26.13 ; Apocalypse 12.1,17).
Lift Him Up, p. 54 ; Le Meilleur Chemin, p. 123.

Abraham croyait qu’Isaac était le fils de la promesse. Par ailleurs, il savait que Dieu avait été très explicite lorsqu’il lui avait dit de l’offrir en holocauste. Il ne douta pas de la promesse divine, mais il crut que le Seigneur qui, dans sa providence, avait donné un fils à Sara dans sa vieillesse, et qui lui demandait maintenant de sacrifier la vie de ce fils, pouvait redonner vie à Isaac et le ramener d’entre les morts. (Voir Genèse 22.1-18 ; Hébreux 11.17-19.)
Comme Abraham levait la main pour frapper son fils, un ange du Seigneur qui avait remarqué la grande fidélité d’Abraham sur la route de Morija, l’appela du ciel et dit :
« Abraham ! Abraham ! … Ne porte pas la main sur le garçon et ne lui fais rien : je sais maintenant que tu crains Dieu et que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton fils unique. » (Genèse 22.1,12).
Spiritual Gifts, vol. 3, p. 106, 107 ; Le premier paragraphe dans : L’Histoire de la rédemption, p. 78.

À ceux qui ont perdu quelque bien-aimé ici-bas, combien précieuses sont la foi dans les promesses de Dieu, et l’espérance d’une vie future et immortelle. Leur espoir se fonde sur les réalités invisibles du monde à venir. Le Christ est ressuscité d’entre les morts en qualité de prémices (voir 1 Corinthiens 15.20). La foi et l’espérance fortifient l’âme qui passe par les ténèbres de la mort, lui donnent l’assurance de parvenir à l’immortalité au matin de la résurrection, d’entrer dans le paradis de Dieu, la demeure des élus ! (Voir Daniel 12.1,2 ; Jean 3.16 ; Jean 11.21-26 ; Apocalypse 20.14.)
Alors, toute larme sera essuyée de leurs yeux (voir Apocalypse 21.1-5). Quand le Christ reviendra une seconde fois pour être « admiré dans tous ceux qui auront cru » (2 Thessaloniciens 1.10), la mort sera « engloutie dans la victoire », de même que toute maladie et toute tristesse (voir 1 Corinthiens 15.1-58 )…
Lors de la première résurrection, à cette heure de triomphe où la dernière trompette retentira, l’Auteur de la vie appellera ceux qu’il s’est acquis, et l’immense armée s’avancera vers la victoire éternelle (1 Thessaloniciens 4.16-18). En attendant ce moment-là, tous les saints actuellement endormis (Jean 11.11-15 ;1 Thessaloniciens 4.13) sont en sécurité et gardés comme des joyaux précieux dont les noms sont connus de Dieu (voir Ésaïe 43.1 ; Apocalypse 20.15 ; 21.22-27).
That I May Know Him, p. 362 ; Pour mieux connaître Jésus-Christ, p. 364.