Leçon 11 : Mardi 7 Juin 2022, Juda et Tamar



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Leçon 11 : Mardi 7 Juin 2022, Juda et Tamar

Mardi 7 juin 2022

Juda et Tamar
Seul le Fils de Dieu avait le pouvoir de nous racheter ; seul celui qui était dans le sein du Père pouvait le faire connaître (voir Jean 1.18) ; seul un Être connaissant la hauteur et la profondeur de l’amour de Dieu pouvait les révéler (voir Romains 8.33-39). Il n’a fallu rien de moins que le sacrifice infini consommé par Jésus-Christ en faveur de l’homme perdu pour exprimer l’amour du Père envers l’humanité déchue (voir Jean 3.16).
… Celui qui était un avec le Père s’est uni à nous par des liens indissolubles (voir Jean 1.1-18). Jésus « n’a pas honte de nous appeler frères » (Hébreux 2.11). Il est notre Propitiation (voir Romains 3.23-26), notre Avocat (voir 1 Jean 2.1), notre Frère. Il paraît revêtu de notre humanité devant le trône du Père, et il sera pendant toute l’éternité un avec la race humaine qu’il a rachetée : il est et demeurera le Fils de l’homme (voir Daniel 7.9-14). Et tout cela afin de relever l’homme de la dégradation et du péché, afin de le mettre à même de réfléchir l’amour de Dieu et de participer à la joie de la sainteté.
Le prix payé pour notre rédemption, le sacrifice infini de notre Père céleste en livrant son Fils à la mort pour nous, devrait nous donner une haute idée de ce que nous pouvons devenir en Jésus-Christ… « Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! » (1 Jean 3.1). Quelle valeur cet amour donne à l’homme ! Par la transgression, les fils d’Adam sont devenus sujets de Satan ; par la foi au sacrifice expiatoire du Christ, ils peuvent devenir fils de Dieu. En revêtant la nature humaine, Jésus-Christ élève l’humanité ; il place l’homme déchu dans une condition où il peut devenir réellement digne du nom d’« enfant de Dieu ». (Voir Jean 1.1-13.)
Steps to Christ, p. 14, 15 ; Le Meilleur Chemin, p. 12.

Les Juifs enseignaient que Dieu ne manifestait son amour au pécheur que lorsque celui-ci se repentait de ses fautes. À leurs yeux, la repentance était une œuvre par laquelle on gagnait la faveur du ciel. C’est précisément cette pensée qui poussa les pharisiens étonnés et irrités à s’écrier : « Cet homme accueille des gens de mauvaise vie » (Luc 15.2). Selon eux, le Christ n’aurait dû se laisser approcher que de ceux qui s’étaient repentis. Or, dans la parabole de la brebis perdue (voir Luc 15.3-7), le Sauveur nous enseigne que nous ne sommes pas sauvés parce que nous avons cherché Dieu, mais parce que Dieu nous a cherchés. « Nul n’est intelligent, nul ne cherche Dieu ; tous sont égarés, tous sont pervertis » (Romains 3.11). Nous ne nous repentons pas pour que Dieu nous aime, mais il nous révèle son amour pour que nous puissions nous repentir. (Voir 1 Jean 4.8-19.)
Christ’s Object Lessons, p. 189 ; Les Paraboles de Jésus, p. 159.

L’oraison est un moyen efficace recommandé par le ciel dans le développement du caractère et la lutte contre le péché (voir Matthieu 26.41). L’influence divine qui se fait sentir dans le cœur en réponse à la prière de la foi assure au chrétien tout ce qu’il a réclamé (voir Marc 11.24). Nous pouvons demander le pardon de nos péchés et le don du Saint-Esprit ; nous pouvons intercéder pour obtenir un caractère semblable à celui du Christ, et la sagesse et la force pour accomplir son œuvre ; tout ce que Dieu a promis, il nous l’accordera ; il nous dit, en effet : « Vous recevrez » (voir Matthieu 7.7-11).
The Acts of the Apostles, p. 564 ; Conquérants pacifiques, p. 503.