318 – Leçon 137. Quand je suis guéri, je ne suis pas guéri seul.



Leçon 137. Quand je suis guéri, je ne suis pas guéri seul.

L’idée d’aujourd’hui reste la pensée centrale sur laquelle repose le salut.
Car la guérison est l’opposé de toutes les idées du monde
qui s’attardent sur la maladie et les états séparés.

La maladie est une retraite à l’écart des autres et une coupure d’avec l’union.
Elle devient une porte qui se ferme sur un soi séparé qu’elle garde isolé et seul.

La maladie est isolement.
Car elle semble garder un soi à part de tous les autres, pour qu’il souffre ce que les autres ne ressentent pas.

Elle donne au corps le pouvoir final de rendre la séparation réelle
et de maintenir l’esprit dans une prison solitaire,
divisé et tenu en morceaux par un mur solide de chair rendue malade, qu’il ne peut franchir.

Le monde obéit aux lois que sert la maladie, mais la guérison opère à part d’elles.

Il est impossible que quiconque soit guéri seul.

Dans la maladie, il doit être à part et séparé.

Mais la guérison est sa propre décision d’être un à nouveau

et d’accepter son Soi avec toutes Ses parties intactes et inattaquées.

Dans la maladie, son Soi paraît être démembré et sans l’unité qui Lui donne la vie.

Mais la guérison est accomplie lorsqu’il voit que le corps n’a pas le pouvoir d’attaquer l’Unité universelle du Fils de Dieu.

La maladie voudrait prouver que des mensonges doivent être la vérité.
Mais la guérison démontre que la vérité est vraie.

Vous trouverez le texte complet de cette leçon sur la page web :
dans l’onglet Documentation, suivi d’un clic sur « Textes et Leçons «